Le nucléaire civil n’est pas plus compatible avec une «transparence» tant de fois alléguée qu’il ne l’est avec le respect des droits démocratiques les plus élémentaires. Après la catastrophe de Tchernobyl, il y a eu la scandaleuse affaire Bandajevsky, ce médecin chercheur de l’institut médical de Gomel traité comme un criminel par l’état Belarus, incarcéré pendant 8 ans sous de fallacieuses accusations, torturé pour avoir publié les résultats de ses recherches sur les conséquences sur l’organisme de la contamination radioactive des sols par le Césium 137 consécutif à l’explosion du réacteur de la centrale nucléaire. Après la catastrophe de Fukushima, des violations semblables se reproduisent dans un pays supposé démocratique, avec l’arrestation et le passage à tabac du militant anti-nucléaire Sono RYOTA. Demain, qu’en sera-t-il en France, si se produisait une catastrophe nucléaire ? L’état d’urgence et toute transparence et démocratie seraient bafouées dans la «gestion» de la crise qui suivrait. Les conséquences d'une catastrophe nucléaire affectent la planète entière. Anti-nucléaires de tous les pays, unissons-nous, Il faut défendre Sono RYOTA !


Un nouvel exemple d’incompatibilité entre industrie nucléaire et démocratie
Sono RYOTA est l’un des organisateurs de plusieurs manifestations à Tokyo. Militant anti-nucléaire, syndicaliste, membre de No Vox Japon. Il a été arrêté le 23 septembre lors d’une manifestation pacifiste dans un quartier populaire de Tokyo. Les policiers ont tabassé les manifestants qui essayaient de le protéger. Son avocat qui a pu le rencontrer a déclaré qu’il était blessé au visage et avait le corps couvert de bleus. En contradiction avec les garanties dont bénéficie tout japonais lors d'une arrestation, les criminels exceptés, il a été menotté, photographié et ses empreintes digitales ont été relevées. Comme il protestait contre cette violation de ses droits humains fondamentaux, un policier lui a affirmé « Tu n’as pas de droits humains ».

Si vous voulez faire pression pour que ce militant des mouvements anti-nucléaires et des «Sans voix» du réseau «No vox Japon» soit libéré vous pouvez participer à la cyberaction organisée par cyberacteurs.org. en envoyant un message à l’ambassade du japon pour exiger sa remise en liberté.
Une cyberaction vous permet d'interpeller directement les décideurs (politiques ou économiques) en leur envoyant un courrier électronique. Dans le cas présent, il s’agit de la Cyber @ction 435 :appel contre arrestation à Tokyo d'un militant anti-nucléaire. Cliquez sur ce lien.
Vendredi 30 Septembre 2011 Commentaires (0)

Sur le nucléaire notamment… Ça ne vaut pas le coup de tenter de les départager et ce serait cautionner la marche vers un bipartisme. Pour les écologistes, c’est le premier tour qui compte. Laissons la primaire PS au PS.


Sortir du nucléaire?

Aubry serait pour. Hollande contre. Hollande veut simplement réduire la part du nucléaire pour la ramener à 50%. Lors du débat télévisé obligeamment organisé par France 2, il s’est évertué à démontrer que sa proposition n’était pas différente de celle de Martine Aubry si l’on raisonnait en fonction de la durée des mandats présidentiels. Ce qui est faux, bien entendu. Si l’on décide de sortir du nucléaire à échéance de vingt-cinq ou même quarante ans (position de Ségolène Royal), il y a des mesures à prendre dès maintenant pour réorienter la production d’électricité et elles ne consisteront pas seulement à fermer les centrales les plus vétustes. Mais peu importait à François Hollande. Ce qu’il voulait montrer, c’est que les anti-nucléaires n’avait pas de raison de choisir Aubry plutôt que lui. Il y a sans doute réussi en soulevant la question de l’EPR en construction à Flamanville. Une sortie du nucléaire si progressive soit-elle suppose que l’on arrête dès maintenant la construction de tout nouveau réacteur, fût-il en chantier, donc que l’on arrête de construire celui de Flamanville. La décision est d’autant plus facile à prendre que le chantier cumule les retards, les malfaçons et s’avère un gouffre financier pour un réacteur dont on sait déjà que du point de vue de la sûreté, il laisse à désirer autant, sinon plus que ses ainés. Martine Aubry n’a pas proposé d’arrêter le chantier ! Elle veut attendre les résultats des expertises. Comme Hollande…. Ce n’est pas en s’y prenant ainsi qu’elle verra « naître la première génération de l’après nucléaire » Si elle le veut vraiment, il faudra qu’elle aille bien au-delà du consensus de façade sur le nucléaire que les candidats à la primaire PS affichaient lors de cette émission, à la grande satisfaction d’un François Hollande tout sourire.
Lors de ce débat, seule Ségolène Royal semblait avoir véritablement étudié la question, avoir pris conscience de l’ampleur de la tâche et avoir sérieusement envisagé une sortie du nucléaire bien que les délais qu’elle propose soient trop longs. Elle exprimait l’opinion qu’elle s’est forgée sur la question et cherchait surtout à rassurer toute la filière en montrant le rôle capital qu’auront à jouer ses acteurs pour mener à bien cette sortie.
La formule de Martine Aubry « Je veux voir naître la première génération de l’après-nucléaire » est une jolie formule, mais on peut craindre qu’elle ne soit que cela.
Jeudi 22 Septembre 2011 Commentaires (0)

Au quotidien

FFC et UCI roulent sur la tête… Incapables hier d’interdire le Tour de France (homme) à de véritables pharmacies ambulantes, elles cherchent aujourd’hui des noises à une championne dont la longévité, le mode de vie sont là pour prouver qu’il est impensable qu’elle se dope. Jeannie Longo, est une championne que tous les écologistes devraient aimer…


Vas y Jeannie !
Jeannie Longo ne s’est jamais bien entendu avec la FFC. Elle préfère les pédales qu’elle a testées à celles que voulait lui imposer la FFC (pour quelle raison ?) Elle préfère aller loger à la campagne près de la nature que dans les hôtels réservés par ladite fédération. Elle s’entraine à sa façon et son entraineur est son mari, cela aussi est mal vu.
Pour être en bonne santé, elle conseille de «réduire les séances d’ordinateur, débrancher la carte Wi-Fi, se demander si c’est vraiment utile de s’exposer ainsi à ces ondes.» ici «Je fais partie des 4 % de Français qui ne possèdent pas de téléphone portable» ajoute-elle. C’est une femme indépendante, une femme libre. Comme l’a affirmé Laurent Jalabert sur RTL «C'est quelqu'un qui suit un programme en fonction de ses sensations, de ses envies, qui peut changer de lieu de résidence comme je l'ai déjà vu faire plusieurs fois sans ressentir forcément le besoin d'avertir la planète entière ». Le sélectionneur de l’équipe de France a ajouté : « Il y a probablement un décalage avec le milieu des contrôleurs et le style de vie de Jeannie Longo qui aujourd'hui l'amène dans une situation un peu improbable » C’est également ce que suggère un responsable de la Fédération : « Ce n'est peut-être pas trop son truc d'aller se localiser sur internet quand elle change d'hôtel »
Samedi 10 Septembre 2011 Commentaires (0)

« Mauvaise nouvelle », ce sont les termes même employés par Marie-Georges Buffet dans un communiqué courageux. Tous les féministes, femmes ou hommes devraient lui dire merci.


Marie-Georges Buffet
Marie-Georges Buffet
Avec plus ou moins de bonne foi, les leaders du PS se réjouissent et se disent soulagés par la décision du procureur américain de renoncer à poursuivre Dominique Strauss-Khan pour le viol de la femme de chambre venue faire le ménage dans sa luxueuse suite d’un hôtel newyorkais. À gauche, dans l’ensemble, la plupart des politiques interviewés tiennent le même discours. À une exception près : Marie-Georges Bufffet. Dans un communiqué, elle déclare : « Le refus de faire juger l'affaire dans laquelle l'ancien directeur du FMI est accusé de viol est une mauvaise nouvelle pour la justice et une mauvaise nouvelle pour les femmes. Car à ce jour la vérité n'est pas dite, ni pour le présumé innocent ni pour la présumée victime» Elle ajoute que la décision prise par le procureur américain « fait courir de grands risques au droit des femmes en revenant au temps où les victimes de viols étaient à priori coupables, au temps où le viol n'était pas considéré comme un crime » Elle termine son communiqué par une mise en garde : « La vigilance s'impose pour que le refus de faire passer la justice aux USA ne donne pas des ailes en France aux pourfendeurs d'une justice implacable envers les violences- sexuelles ou non - à l'encontre des femmes »
Vendredi 26 Août 2011 Commentaires (0)

Les Etats occidentaux sont trop endettés. Voici venir des temps de rigueur budgétaire. Comment augmenter les recettes mais surtout quelles sont les dépenses que l’on peut supprimer ? Il est tout de même étrange que ni les économistes qu’interrogent les médias, ni la plupart des politiques n’envisagent d’arrêter les guerres auxquelles se livrent les pays occidentaux dans le monde…. sans succès.


En Irak, à la dictature sanguinaire de Saddam Hussein ont succédé corruption et chaos, en Afghanistan les talibans sont en passe de reprendre le pouvoir, etc. Comme le déclare dans une tribune du Monde du 10 août l’ancien ministre britannique des affaires européennes Denis Macshane, « Le monde non-démocratique se délecte de voir les armées occidentales s’embourber dans des conflits ingagnables, qui pompent le sang et la richesse du renouveau économique et social dont la communauté euro-atlantique a besoin ». Sait-on qu’une bombe larguée en Syrie coûte 300 000 euros ? Que cette aventure dans laquelle Nicolas Sarkozy a entraîné le pays coûte 1 000 000 d’euros par jour ! Et pour quel résultat ? Je salue le courage de Denis Macshane de le dire sans ambages : « Quelqu’un a-t-il rappelé à MM. Cameron et Sarkozy à quel point la Lybie est grande ? Tripoli et Benghazi se détestent. Croire qu’un groupe de Benghazi serait le bienvenu à Tripoli est une aberration. Si les tribus et les islamistes l’emportent, ce n’est pas une démocratie « à la Suisse » mais plutôt une charia de type taliban qui s’imposera à Tripoli » Cela, je le pense depuis le début du conflit.
Lundi 22 Août 2011 Commentaires (0)

Dans son livre Flore et végétation des Alpes, Claude Favarger nous offre un traité de biologie botanique alpestre rigoureux tout en nous faisant partager sa passion pour ces fleurs de montagne qu’il décrit si bien. Ainsi en est-il de la potentille des frimas. Le portrait qu’il en trace lui donne l’occasion d’exprimer quelques craintes qui ne se sont révélées, hélas, que trop justifiées. Ce texte a été écrit en 1956.


« La potentille des frimas Potentilla frigida, nous dit-il, est une plante des altitudes élevées qui ne croît guère en dessous de 2500 m d’altitude. Elle a des feuilles divisées en trois folioles comme les fraisiers et comme la potentille à grandes fleurs mais les corolles sont de taille modeste et attirent peu le regard. Le feuillage pourtant est très plaisant avec ses poils soyeux qui paraissent le protéger du froid et surtout du vent. Et puis, elle a pour le botaniste l’attrait de ces végétaux peu fréquents qu’il n’est pas donné à tout le monde d’apercevoir et dont la conquête exige quelque effort. Je sais bien qu’à notre époque, des engins perfectionnés vous transportent en peu d’instants et sans la moindre peine à des hauteurs où vit la potentille des frimas. En supprimant l’effort, la machine ôte la joie de la conquête. L’homme ne prête qu’une attention distraite aux objets qui lui sont trop facilement accessibles. Chose curieuse en croyant maîtriser la création, il s’en aliène les richesses. Je frémis à la pensée de la cohorte grandissante des gens blasés qui ayant « fait » la montagne en téléphérique, ne sauront plus qu’inventer pour charmer leurs vacances. »
Vendredi 19 Août 2011 Commentaires (0)

En période pré-électorale, que pèse un mangeur de brebis occasionnel? La ministre de l’écologie, Nathalie Kosciuscko-Morizet a cédé à la pression des éleveurs de moutons des Alpes de Haute-Provence. Elle a autorisé l’abattage de six loups cette année, loups qui sont pourtant une espèce menacée protégée par la Convention de Berne dont la France est signataire.


Ces abattages sont inutiles comme le souligne l’association « Ferus » parce qu’ils sont réalisés hors contexte, loin des troupeaux et des alpages où les prédations sont réalisées et que le loup qui sera tué le sera au hasard. Il n’aura pas été tiré par l’éleveur ou le berger lors d’une attaque. L’expérience prouve d’ailleurs que les derniers tirs de cette sorte n’ont eu aucun effet dissuasif. C’est ainsi qu’il y a deux ans, les attaques se sont poursuivies et ont même augmentées après qu’une louve alpha ait été exécutée. Mais la ministre n’en a cure… Il s’agit de « faire un geste » pour apaiser la grogne des éleveurs et conserver ou gagner leurs suffrages, un geste qui coûtera la vie à une bête sauvage qui a tout autant le droit de vivre en montagne que quiconque. Une montagne qui ne doit pas être un immense parc à bestiaux pour de grands troupeaux laissés quasiment à eux-mêmes comme le voudraient les éleveurs.
Mardi 16 Août 2011 Commentaires (0)

C’est au cœur d’un été parmi les plus pourris de ces dernières années, en un mois d’août où même sur la Côte d’Azur les températures sont plutôt fraîches, que Le Monde du 10/08 nous inflige un panégyrique de « la pasonaria du (réchauffement) du climat » Valérie Masson-Delmotte. Au moment où nous devons allumer le chauffage en plein été, il fallait bien rappeler que la Terre se réchauffe…. que les climatosceptiques étaient d’affreux jojos qui pratiquaient le dénigrement systématique, étaient coupables de manquement à l’éthique des chercheurs, refusaient les vrais débats, préféraient la polémique au lieu de la confrontation des faits…
Les faits, parlons-en justement.


Vendredi 12 Août 2011 Commentaires (-1)

Il y a une vingtaine d’année, j’avais pris pour mot d’ordre emblématique de ma campagne aux élections législatives cet aphorisme de Paul Éluard complété par les élèves de 6ème spéciale de Chatillon sur Chalaronne (AIN) en 1992

« La Terre est bleue comme une orange, Gardons la verte et sans pépin ! »

Aujourd’hui, je pense qu’il faudrait le modifier ainsi :

« Arrêtons de la presser comme un citron ! »

Car c’est bien ce qui se passe ou qui se prépare. Partout dans le monde, y compris en France.


On va chercher le pétrole tout au fond des mers dans le golfe du Mexique avec à la clé, la désastreuse marée noire que l’on a connue (5 millions de barils rejetés en trois mois….) Au nord-ouest de Madagascar, le groupe Total prévoit d’extraire du pétrole de sables bitumeux dans une région qui a été classée « patrimoine de l’Humanité » par l’Unesco, alors que, avec l’exemple du Canada, l’on connait les dégâts environnementaux que peut produire une telle extraction : immenses mines à ciel ouvert, pollutions des rivières et des nappes phréatiques à l’arsenic, aux métaux lourds, … (Voir l’article de Tom Levitt dans le dossier consacré à l’énergie du dernier numéro de L’écologiste, Juin-Août 2011).
Profitant des « progrès » dans les techniques d’extraction et du réchauffement de la région qui libère des glaces de plus grandes portions d’océan pendant des périodes plus longues, on s’apprête à puiser massivement dans des gisements de pétrole et de gaz de l’Arctique alors même qu’il n’existe à l’heure actuelle aucun moyen, ni aucune méthode pour faire face à une marée noire dans l’Arctique et ses eaux glacées. Comme le titre un autre article de ce même numéro de L’écologiste, « Le pétrole ou l’Arctique, il faut choisir ». J’ai bien peur que le choix soit déjà fait. Les automobiles ont soif et même si le coût en est élevé, cette extraction est rentable. Avec un accroissement continu de la demande mondiale, elle le restera.
En France enfin, bien que la mobilisation des populations des territoires concernés, des associations de défense de l’environnement et des écologistes ait réussi à stopper la recherche des gisements de gaz de schiste, le combat n’est pas gagné. Ce « pétrole du désespoir » comme l’a si justement nommé une élue, dont les réserves sont, paraît-il, énormes fait saliver beaucoup trop de compagnies et de décideurs politiques, inconscients des ravages écologiques que leur exploitation entrainerait ou plutôt prêts à les admettre, les unes pour le profit de leurs actionnaires, les autres au nom de la sacro-sainte nécessité de la croissance économique.
Mardi 2 Août 2011 Commentaires (3)

Au quotidien

La dernière séance plénière de la Commission locale d'information (CLI) sur le démantèlement des installations nucléaires du CEA s'est tenue à Châtillon le 27 avril dernier. Au sortir de cette commission mon sentiment est mitigé. Seule bonne nouvelle, la ventilation et donc la pressurisation du bâtiment 18 de l'INB 165 sera refaite à neuf.


Action antinucléaire à Fontenay-aux-Roses
Action antinucléaire à Fontenay-aux-Roses
Des délais non tenus

De toutes les questions qu'avaient soulevées le commission que je préside et que le président de la CLI avait reprises dans sa lettre à la directrice du CEA de Fontenay-aux-Roses, beaucoup restent sans réponse. Nous aurons cependant appris que les délais de 2018 prévus par le second décret autorisant les opérations de démantèlement ne seront pas tenus et qu'un nouveau décret sera nécessaire.
Nous avons appris aussi qu'une partie des bâtiments ne seront pas totalement assainis. Il n'est pourtant pas si loin le temps où les promoteurs de l'opération nous expliquaient qu'après démantèlement « on pourra pic-niquer sur le site » : 1999 ! Il en sera de cette rodomontade des nucléocrates comme de toutes les autres : les faits l'ont démentie.
De même que les délais prévus initialement ne sont plus qu'un souvenir que même Monsieur Ricoul présent le 27 avril et qui exerçait déjà à l 'époque semble avoir oublié. Tout devait être fini en 2010.... La directrice actuelle semblait ne pas le savoir. Il faut dire qu'au CEA de Fontenay-aux-Roses, bien des directeurs se sont succédés avant elle.
Les raisons de ce retard considérable : les difficultés de l'entreprise, l'absence de solution pour le retraitement et l'évacuation de certains types de déchets, l'engorgement des filières.

Un coût exorbitant qu'il sera difficile de connaître.

Parce que très élevé, trop élevé pour être avoué. Ici comme dans les autres aspects, la transparence tant vantée et qui était sur toutes les lèvres des représentants du CEA n'était pas dans les paroles. On nous a dit que pour les opérations restant à réaliser, il fallait compter environs 450 millions d'euros, hors « aléas ».... Mais aucun d'eux ne voulait ou ne savait ce que l'opération avait déjà couté!!!! On doit avoir déjà dépensé au moins autant, ce qui porterait le coût à un milliard d'euros....

Dimanche 1 Mai 2011 Commentaires (1)
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